Le joyeux bédéiste explore l’histoire de son célèbre personnage qui a 40 ans cette année et dresse l’inventaire de ce qui le fait rager. Inquiet du sort des 8 milliards et demi d’humains sur Terre, il plaide pour davantage d’apôtres du second degré. Pourquoi d’ailleurs ne pas l’enseigner à l’école, se demande celui qui reconnaît l’humour comme une forme de philosophie. Philippe Geluck pose une question – très sensible- et qui risque d’alimenter beaucoup de conversations; toutes les voix doivent-elles peser du même poids en démocratie?